Pour un bungalow sur pilotis, sans aucun repas, compter au minimum 500 euros HT par nuit...
29 septembre 2006
28 septembre 2006
Dans mon coffre
27 septembre 2006
26 septembre 2006
Ananas
Sur l'île de Moorea, il y a des dixaines et des dixaines d'hectares de champs d'ananas, au pied du mont Rotui, principalement destinés à la célèbre usine de jus de fruits éponyme, située un peu plus bas dans la baie de Cook.
Ces champs, au parfum beaucoup plus ennivrant que les plantations de noni (beurk), ont quand même un défaut de taille : impossible de couper à travers, ce sont eux qui vous coupent, ce qui s'avère particulièrement embettant lorsqu'on est déjà en retard pour le dernier ferry en partance vers Tahiti...
Ces champs, au parfum beaucoup plus ennivrant que les plantations de noni (beurk), ont quand même un défaut de taille : impossible de couper à travers, ce sont eux qui vous coupent, ce qui s'avère particulièrement embettant lorsqu'on est déjà en retard pour le dernier ferry en partance vers Tahiti...
25 septembre 2006
18 septembre 2006
Le plateau de Tamanu
Plus communément appellé le plateau de orangers, il est niché au fond de la vallée de la Punaruu.
Désert ce week-end, en Juillet-Août, pendant la saison de la ceuillette des oranges, 200 personnes vivent là, à 2h de marche de la première piste, dans des cabanes au pied du Diadième, ce rocher ci-particulier connu de tous ici, et couronnant une des plus hautes crètes de Tahiti.
Les porteurs de fruits font l'aller-retour entre le plateau et le fond de la vallée plusieurs fois par jour, chargés de 70 à 80 kg d'oranges. Je ne sais pas comment ils font, la pente est tellement raide que je me suis servi autant de mes mains que de mes pieds. Heureusement qu'il y a des cordes un peu partout.
Moyennant une petite taxe à payer à la mairie de Punaauia, on a le droit d'y ceuillir des oranges pour notre consommation personnelle.
Désert ce week-end, en Juillet-Août, pendant la saison de la ceuillette des oranges, 200 personnes vivent là, à 2h de marche de la première piste, dans des cabanes au pied du Diadième, ce rocher ci-particulier connu de tous ici, et couronnant une des plus hautes crètes de Tahiti.
Les porteurs de fruits font l'aller-retour entre le plateau et le fond de la vallée plusieurs fois par jour, chargés de 70 à 80 kg d'oranges. Je ne sais pas comment ils font, la pente est tellement raide que je me suis servi autant de mes mains que de mes pieds. Heureusement qu'il y a des cordes un peu partout.
Moyennant une petite taxe à payer à la mairie de Punaauia, on a le droit d'y ceuillir des oranges pour notre consommation personnelle.
14 septembre 2006
13 septembre 2006
12 septembre 2006
Punaauia
11 septembre 2006
08 septembre 2006
Retour de Huahine
Lundi 4 Septembre.
Tranquillement installé dans le poste de pilotage de l'ATR72 qui me ramène de Huahine à Tahiti, en passant par Raiatea, je fini ma nuit.
Eh bien oui, je n'ai pas très bien dormi la nuit précédente. Lorsque j'ai réglé mon téléphone portable pour qu'il me réveille à 5h ce matin, il s'est éteint, à court de batterie. Je n'avais pas amené mon chargeur, et puis de toute façon, il n'y a pas d'électricité dans le camping. A part les gérants, j'étais tout seul, et lorsque je leur ai expliqué mon problème et demandé si ils pouvaient me préter un réveil, il se sont bien poilés parcqu'ils n'en ont jamais eu...
Il faut absolument que je sois debout à 5h pour ne pas rater mon avion, dont l'embarquement est à 6h30, parcequ'il faut que je traverse toute l'île en scooter, de nuit, avec pour seul éclairage le tout petit phare du scoot.
Seule solution trouvée, avant de me coucher, j'ai englouti 2 litres d'eau (heureusement qu'il y avait de l'eau potable...). J'ai du me réveiller au bout de 2 heures pour soulager ma vessie. Et j'ai réitéré l'opération jusqu'à 4h30 du mat
Autant dire qu'à 7h du mat, je suis à moitié endormi dans le cockpit de l'ATR.
Mais soudain, un bruit anormal retenti. J'émerge un peu, mais les deux pilotes en uniforme devant moi ne réagissent pas. J'ai du réver. Je recommence à sombrer dans le sommeil quand j'entend à nouveau ce même bruit. Cette fois encore, les pilotes ne bronchent pas. Encore ce son ! Je ne suis plus vaseux et il y a clairement un truc qui cloche. J'ai pas envie de dire une connerie, mais les pilotes auraient du réagir. Tant pis, je me lance :
- "Euh, ce n'est pas un coq qu'on vient d'entendre chanter ?"
- "Oui, on a une caisse de coqs en soute"
- "Ah ? D'accord..."
Tranquillement installé dans le poste de pilotage de l'ATR72 qui me ramène de Huahine à Tahiti, en passant par Raiatea, je fini ma nuit.
Eh bien oui, je n'ai pas très bien dormi la nuit précédente. Lorsque j'ai réglé mon téléphone portable pour qu'il me réveille à 5h ce matin, il s'est éteint, à court de batterie. Je n'avais pas amené mon chargeur, et puis de toute façon, il n'y a pas d'électricité dans le camping. A part les gérants, j'étais tout seul, et lorsque je leur ai expliqué mon problème et demandé si ils pouvaient me préter un réveil, il se sont bien poilés parcqu'ils n'en ont jamais eu...
Il faut absolument que je sois debout à 5h pour ne pas rater mon avion, dont l'embarquement est à 6h30, parcequ'il faut que je traverse toute l'île en scooter, de nuit, avec pour seul éclairage le tout petit phare du scoot.
Seule solution trouvée, avant de me coucher, j'ai englouti 2 litres d'eau (heureusement qu'il y avait de l'eau potable...). J'ai du me réveiller au bout de 2 heures pour soulager ma vessie. Et j'ai réitéré l'opération jusqu'à 4h30 du mat
Autant dire qu'à 7h du mat, je suis à moitié endormi dans le cockpit de l'ATR.
Mais soudain, un bruit anormal retenti. J'émerge un peu, mais les deux pilotes en uniforme devant moi ne réagissent pas. J'ai du réver. Je recommence à sombrer dans le sommeil quand j'entend à nouveau ce même bruit. Cette fois encore, les pilotes ne bronchent pas. Encore ce son ! Je ne suis plus vaseux et il y a clairement un truc qui cloche. J'ai pas envie de dire une connerie, mais les pilotes auraient du réagir. Tant pis, je me lance :
- "Euh, ce n'est pas un coq qu'on vient d'entendre chanter ?"
- "Oui, on a une caisse de coqs en soute"
- "Ah ? D'accord..."
06 septembre 2006
05 septembre 2006
Week-end roots à Huahine
Huahine (prononcer Wouainé) ou "l'île femme" en tahitien, est l'île sous-le-vent la plus proche des îles du vent (175 km au nord-ouest de Tahiti). Plus sauvage, plus luxuriante et plus authentique que les autres îles de l'archipel de la société, car moins visitée par les touristes, elle possède de belles plages, d'excellentes possibilités de plongée, de spot de surf réputés, et l'un des plus vastes ensembles de sites archéologiques de Polynésie.
Huahine se compose de 2 îles reliées par un pont, Huahine Nui (la grande Huahine) et Huahine Iti (la petite Huahine).
Le Arii'Ura camping, où j'ai passé 2 nuits, se situe à l'extrémité de la pointe sud de Huahine Iti, au bord d'une belle plage de sable blanc.
Huahine se compose de 2 îles reliées par un pont, Huahine Nui (la grande Huahine) et Huahine Iti (la petite Huahine).
Le Arii'Ura camping, où j'ai passé 2 nuits, se situe à l'extrémité de la pointe sud de Huahine Iti, au bord d'une belle plage de sable blanc.
01 septembre 2006
Nuku Hiva - Episode 20
5h30 du matin, sur la plage d'Anaho.
Mon avion décolle à 12h30, les 7 heures ne me seront pas de trop pour rejoindre l'aéroport à 40 km de là.
J'ai rencontré un couple de Marquisiens à Anaho qui doit prendre le même avion que moi, et ils ont accepté que je me joigne à eux.
Comme Anaho n'est pas accessible en 4*4, un bateau vient nous chercher. Une fois chargé des bagages, des glacières de poissons, des sacs de coprah, du ukulélé et des caisses de bouteilles vides d'Hinano (qu'on doit systématiquement ramener pour pouvoir en racheter des pleines), il ne reste plus beaucoup de place pour les 3 passagers, le chauffard, le mousse et les 2 chiens !
On débarque à Aakapa à 8h30, et je suis entraîné dans la case d'un cousin pour boire un coup en attendant le taxi 4*4 qui mettra ensuite 3h pour rallier l'aéroport de Terre Déserte
Mon avion décolle à 12h30, les 7 heures ne me seront pas de trop pour rejoindre l'aéroport à 40 km de là.
J'ai rencontré un couple de Marquisiens à Anaho qui doit prendre le même avion que moi, et ils ont accepté que je me joigne à eux.
Comme Anaho n'est pas accessible en 4*4, un bateau vient nous chercher. Une fois chargé des bagages, des glacières de poissons, des sacs de coprah, du ukulélé et des caisses de bouteilles vides d'Hinano (qu'on doit systématiquement ramener pour pouvoir en racheter des pleines), il ne reste plus beaucoup de place pour les 3 passagers, le chauffard, le mousse et les 2 chiens !
On débarque à Aakapa à 8h30, et je suis entraîné dans la case d'un cousin pour boire un coup en attendant le taxi 4*4 qui mettra ensuite 3h pour rallier l'aéroport de Terre Déserte
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