Si un jour vous allez à Los Angeles, ne prennez pas le bus, c'est un casse-tête pas croyable ! Louez une voiture.
Il doit y avoir une dixaine de sociétés de bus différentes : Big Blue Bus, Culver City Bus, Metro, Prime Time, Super Shuttle, ... pour ne citer que celles que j'ai prises.
Il y a autant de tarifs différents, le seul point commun entre toutes ces sociétés est que les chauffeurs ne rendent pas la monnaie.
On peut acheter, sur certaines compagnies, des tickets avec correspondance sur d'autres lignes (mais pas toutes), ou même d'autres compagnies (mais là aussi, pas toutes), à des tarifs plus différents les uns des autres. Les lignes pour lesquelles on a le droit d'acheter des correspondances changent en fonction de l'heure de la journée, et les compagnies pour lesquelles on peut acheter des correspondances changent en fonction de la compagnie avec laquelle on les achète.
Il existe aussi des tickets de correspondance entre 2 lignes d'une même compagnie de bus qui ne se croisent pas, lorsque l'on doit changer de compagnie entre les 2. J'ai acheté un ticket comme ça à un moment, mais le deuxième chauffeur de la première compagnie n'a pas voulu de mon ticket, parce que sa durée de validité (45 minutes) était dépassée, et cette durée varie selon les sociétés de bus...
En plus, rien n'est indiqué nulle part.
Bref, c'est le bazard.
J'ai essayé d'expliquer à un habitant de Los Angeles rencontré dans un bus, qu'à Sydney, avec 1 seul ticket, on peut prendre le bus, le train et le ferry, dans n'importe quel ordre et pour aller n'importe où. Il ne m'a pas cru.
31 janvier 2007
30 janvier 2007
26 janvier 2007
25 janvier 2007
24 janvier 2007
Tere Faati
23 janvier 2007
Hollywood
Qui a dit que la Polynésie est perdue au milieu du Pacifique ? Pourquoi perdue ?
Moi, je dirais plutôt qu'elle est à égale distance des Amériques, de l'Asie et de l'Australie. Du coup, c'est bien pratique pour partir en week-end, surtout en ce moment, car c'est la saison des pluies, et il pleut depuis le 30 Décembre à Tahiti.
En prenant l'avion le vendredi soir à 22h ou 23h30, après 8h de dodo en vol, on arrive à 8h ou 9h30 le samedi matin à Los Angeles. Le dimanche soir, il y a 3 vols entre 16h et 22h, ce qui fait arriver à Tahiti entre 1h et 5h du mat.
C'est ce que j'ai fait le week-end du premier janvier (là, je suis resté 3 jours), et je remet ça ce week-end.
Moi, je dirais plutôt qu'elle est à égale distance des Amériques, de l'Asie et de l'Australie. Du coup, c'est bien pratique pour partir en week-end, surtout en ce moment, car c'est la saison des pluies, et il pleut depuis le 30 Décembre à Tahiti.
En prenant l'avion le vendredi soir à 22h ou 23h30, après 8h de dodo en vol, on arrive à 8h ou 9h30 le samedi matin à Los Angeles. Le dimanche soir, il y a 3 vols entre 16h et 22h, ce qui fait arriver à Tahiti entre 1h et 5h du mat.
C'est ce que j'ai fait le week-end du premier janvier (là, je suis resté 3 jours), et je remet ça ce week-end.
19 janvier 2007
17 janvier 2007
16 janvier 2007
Maupiti
Extrait de de mon guide "Lonely Planet : Tahiti et la Polynésie Française", qui a vu du pays :
"Maupiti, c'est un peu la Polyénise comme on se l'était imaginée. Cette fée clochette au format miniature - le tour de l'île fait tout juste 10 km - vous touchera de sa baguette magique. Que l'on arrive par avion ou par bateau, la vue de l'impressionnante masse basaltique qui s'élève au-dessus du lagon laisse un souvenir impérissable. L'ensemble est couronné d'un chapelet de motu qu'agrémentent de petites plages de sable blanc. Isolée à l'extrémité de l'archipel de la Société, à 40 km à l'ouest de Bora Bora, elle offre le visage d'une île encore discrète et intimiste, sans pour autant être recluse, car facilement accessible depuis Bora Bora, Raiatea ou Tahiti.
Pour l'instant, aucune infrastructure touristique massive ne vient dénaturer le lagon, d'une étincelante beauté. Malgré les tentations, les habitants de Maupiti ont su dire non aux sirènes de l'argent facile. En 2005, à l'occasion d'un référendum, ils ont rejeté à une large majorité un projet de construction d'une structure hotelière sur l'île. A Bora Bora le strass et les paillettes, à Maupiti le charme et la séduction sans fard. Ici, pas de nourrissage de requins, pas de boutiques de perles, pas de pirogues chargées de touristes par dizaines que l'on déverse sur les motu, pas de jet-ski... Cette attitude se montre déjà payante : les déçus de Bora Bora (il y en a) viennent prendre un bain d'authenticité à Maupiti. Les visiteurs savourent la qualité des pensions de famille, la quiétude des motu et la douceur de vivre du village. En dehors des pensions, il n'existe ni prestations touristiques organisées, ni animation, et les voitures, rares, n'ont pas encore supplanté la bicyclette ou le scooter."
"Maupiti, c'est un peu la Polyénise comme on se l'était imaginée. Cette fée clochette au format miniature - le tour de l'île fait tout juste 10 km - vous touchera de sa baguette magique. Que l'on arrive par avion ou par bateau, la vue de l'impressionnante masse basaltique qui s'élève au-dessus du lagon laisse un souvenir impérissable. L'ensemble est couronné d'un chapelet de motu qu'agrémentent de petites plages de sable blanc. Isolée à l'extrémité de l'archipel de la Société, à 40 km à l'ouest de Bora Bora, elle offre le visage d'une île encore discrète et intimiste, sans pour autant être recluse, car facilement accessible depuis Bora Bora, Raiatea ou Tahiti.
Pour l'instant, aucune infrastructure touristique massive ne vient dénaturer le lagon, d'une étincelante beauté. Malgré les tentations, les habitants de Maupiti ont su dire non aux sirènes de l'argent facile. En 2005, à l'occasion d'un référendum, ils ont rejeté à une large majorité un projet de construction d'une structure hotelière sur l'île. A Bora Bora le strass et les paillettes, à Maupiti le charme et la séduction sans fard. Ici, pas de nourrissage de requins, pas de boutiques de perles, pas de pirogues chargées de touristes par dizaines que l'on déverse sur les motu, pas de jet-ski... Cette attitude se montre déjà payante : les déçus de Bora Bora (il y en a) viennent prendre un bain d'authenticité à Maupiti. Les visiteurs savourent la qualité des pensions de famille, la quiétude des motu et la douceur de vivre du village. En dehors des pensions, il n'existe ni prestations touristiques organisées, ni animation, et les voitures, rares, n'ont pas encore supplanté la bicyclette ou le scooter."
12 janvier 2007
Parking aéroport Maupiti
11 janvier 2007
Tupaï
Tupaï est le deuxième atoll de l'archipel de la société. Tetiaroa, l'atoll de Marlon Brando, est situé à l'extrémité est de l'archipel, Tupaï est quand à lui tout à l'ouest.
Il a été "acheté" par le gouvernement du territoire, lorsque que Gaston Flosse était au pouvoir. Rien que ça, ça pue la grosse magouille. Comment est-ce qu'un gouvernement peut-il acheter quelquechose qui lui appartient ? J'ai plutôt l'impression que Flosse s'est approprié l'atoll de Tupaï et en a profité pour faire disparaitre un gros paquet de fric prélevé au contribuable. Après ce "rachat", Flosse a mis toute la population dehors et a fait construire sur l'atoll de magnifiques palais, que le bas-peuple n'a jamais vu, pour y recevoir ses invités de marques et y faire des réunions de "travail" avec ses ministres.
Vous imaginez, vous, si Chirac rachetait la Corse, mettait tout le monde dehors, et réservait l'île pour ses conseils des ministres ?
Il a été "acheté" par le gouvernement du territoire, lorsque que Gaston Flosse était au pouvoir. Rien que ça, ça pue la grosse magouille. Comment est-ce qu'un gouvernement peut-il acheter quelquechose qui lui appartient ? J'ai plutôt l'impression que Flosse s'est approprié l'atoll de Tupaï et en a profité pour faire disparaitre un gros paquet de fric prélevé au contribuable. Après ce "rachat", Flosse a mis toute la population dehors et a fait construire sur l'atoll de magnifiques palais, que le bas-peuple n'a jamais vu, pour y recevoir ses invités de marques et y faire des réunions de "travail" avec ses ministres.
Vous imaginez, vous, si Chirac rachetait la Corse, mettait tout le monde dehors, et réservait l'île pour ses conseils des ministres ?
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