04 janvier 2007

Coprah

Beaucoup des îles de Polynésie sont encore bien à l'écart du tourisme. Dans celles-ci, l'"économie" tourne autour de la pèche, de la perliculture, et du coprah. Mais ce dernier secteur est en crise, le prix du kilo de coprah est au plus bas, et si le gouvernement du territoire ne faisait rien, les gens ne pourraient pas en vivre et iraient renforcer l'exode des polynésiens qui viennent tenter leur chance à Tahiti.
Alors le gouvernement subventionne énormément la culture du coprah afin que les gens qui en vivent puissent rester dans leurs îles. Ainsi, 90% du coprah vendu par les producteurs à l'huilerie de Tahiti (l'unique acheteur) est payé par le territoire.



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